Et la cuirasse rendant la puissance inhérente
du caractère moral (« dikaiosunē » intégrité, vertu, pureté,
justesse, droiture – en pensées, émotions, actions)
Es.59:17 (DRB) Et
il revêtit la justice comme une cuirasse, et mit un casque de salut sur sa
tête, et il revêtit, comme un habit, les vêtements de la vengeance, et se
revêtit de jalousie comme d’un manteau.
Ex.28:15, 29, 30 le pectoral de jugement (“…sur le cœur d’Aaron...”)
1Th.5:8
(DRB) mais nous qui sommes du jour, soyons sobres, revêtant la cuirasse de la foi et de l’amour, et pour casque,
l’espérance du salut
Es.59:17 est tire d’un de quatre
cantiques du « serviteur conquérant ». Un cantique messianique qui
prophétise la Personne et le Ministère de Jésus-Christ.
Le pectoral ou la cuirasse (Ex.28) est une protection de caractère ou d’attribut moral (le texte d’Exode le confirme). Il est sur le cœur – un hébraïsme pour le centre vital ou de vie, le siège de l’être humain. (voir Mc.7 :15 – avertit négativement ce qui sort du cœur)
La défense vient des traits de caractère moraux (le sens du terme Gc. « dikaiosunē » dans le texte). Ce n’est pas l’image de se cacher derrière la cuirasse de la justice ou la droiture/justesse parfaites de la Personne de Jésus-Christ. Cela ferait de Jésus la cuirasse Lui-même. Le caractère « juste » (selon la définition du terme) est la cuirasse. Seulement Jésus-Christ en nous produisant son propre caractère moral peut faire en sorte que nous soyons justes (voir Ph.3 :9, Abraham – Ro.4 :17-18)
Nous comprenons que notre capacité d’être et de démontrer en Jésus ces traits de caractère rend possible la protection de la cuirasse.
Le défi concerne moins le fait de comprendre le Malin et plus un discernement de ce qui manque ou pose obstacle à ce que la justice et la justesse de Christ se manifestent en nous. La présence d’une attaque spirituelle ou d’une opposition dans ce domaine indique qu’il n’y a pas assez de la justice et la justesse en Christ, en moi. Ce qui accorde une mesure adéquate de puissance inhérente et de pouvoir tenir debout et ferme face à l’opposition, (1Ti.6 :10-11)
Paul rajoute à cette dimension de qualité morale les attributs de foi et d’amour (1Th.5:8). Foi en la Personne de Jésus Christ qui est justice et justesse en nous (Ro.1 :17, 3 :22, 5 :17, 6 :18, 8 :10, 1Co.1 :30). Amour car un amour pour la justice et pour Celui qui est juste (Ps.45:7; Is.61:8; Héb.1:9).
Jn.16 :8 établit la bonne perspective : notre tâche est de porter la justice de Jésus-Christ qui demeure en nous. La tâche du Saint Esprit est de convaincre le monde de Justice. (ex. de Jean Baptiste (Mt.21:32-, Lc.1:75) ; ex. de Paul (Ac.13:10)).
Le pectoral ou la cuirasse (Ex.28) est une protection de caractère ou d’attribut moral (le texte d’Exode le confirme). Il est sur le cœur – un hébraïsme pour le centre vital ou de vie, le siège de l’être humain. (voir Mc.7 :15 – avertit négativement ce qui sort du cœur)
La défense vient des traits de caractère moraux (le sens du terme Gc. « dikaiosunē » dans le texte). Ce n’est pas l’image de se cacher derrière la cuirasse de la justice ou la droiture/justesse parfaites de la Personne de Jésus-Christ. Cela ferait de Jésus la cuirasse Lui-même. Le caractère « juste » (selon la définition du terme) est la cuirasse. Seulement Jésus-Christ en nous produisant son propre caractère moral peut faire en sorte que nous soyons justes (voir Ph.3 :9, Abraham – Ro.4 :17-18)
Nous comprenons que notre capacité d’être et de démontrer en Jésus ces traits de caractère rend possible la protection de la cuirasse.
Le défi concerne moins le fait de comprendre le Malin et plus un discernement de ce qui manque ou pose obstacle à ce que la justice et la justesse de Christ se manifestent en nous. La présence d’une attaque spirituelle ou d’une opposition dans ce domaine indique qu’il n’y a pas assez de la justice et la justesse en Christ, en moi. Ce qui accorde une mesure adéquate de puissance inhérente et de pouvoir tenir debout et ferme face à l’opposition, (1Ti.6 :10-11)
Paul rajoute à cette dimension de qualité morale les attributs de foi et d’amour (1Th.5:8). Foi en la Personne de Jésus Christ qui est justice et justesse en nous (Ro.1 :17, 3 :22, 5 :17, 6 :18, 8 :10, 1Co.1 :30). Amour car un amour pour la justice et pour Celui qui est juste (Ps.45:7; Is.61:8; Héb.1:9).
Jn.16 :8 établit la bonne perspective : notre tâche est de porter la justice de Jésus-Christ qui demeure en nous. La tâche du Saint Esprit est de convaincre le monde de Justice. (ex. de Jean Baptiste (Mt.21:32-, Lc.1:75) ; ex. de Paul (Ac.13:10)).
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